The situation in Libya is catastrophic. Testimony…
(BRUXELLES2, exclusif) Voici un témoignage recueilli par téléphone d’un Libyen actuellement réfugié en Tunisie. Il est à prendre tel que, brut. Ce n’est pas la réalité complète. Mais un vécu. De peur…
Young recruits and prisoners. " Les jeunes des écoles militaires ont été amenés dans des camps d’entrainement sous les oliviers. Ils ont à peine 18 ans. Certains sont encore adolescents, 15 ou 16 ans. Ils ne s’entraînent pas vraiment au combat, mais au tir, à être des snipers. (...) All prisoners have been released. They were given weapons and money. They sow terror. »
A great fear. « The situation is catastrophic. He (Gaddafi) terrorizes people. The wounded are picked up and killed. There is great fear everywhere. You can't bury the dead. We can't take people to the hospital. »
The effect of the strikes? « Pour l’instant on ne le voit pas (sur la répression). Les milices sont encore là. Tout le monde a très peur. On ne sent pas la sécurité ».
Des régions hors de l’attention des médias. In the small villages of the Berber mountains, " who were very quiet ", there is a " véritable “nettoyage” qui est en cours. Ils tuent tout le monde. » These villages made the mistake of taking up the cause of the revolution, « d’enlever le drapeau vert de Kadhafi et d’arborer le drapeau de la révolution. Ils le paient maintenant. »
In Tunisia, the situation at the border. She is " très calme (pour l’instant). Les gens n’arrivent pas. Ils ne peuvent pas arriver. Les forces de Kadhafi ont raflé, à plusieurs reprises, les Africains, notamment sur une place à Tripoli, près de la fabrique d’une cigarettes il y a quelques jours. On ne sait pas pourquoi ni ce qu’ils sont devenus ».
NB : Les témoignages convergent vers d’autres. Les experts de l’ONU parlent de plusieurs centaines de cas de disparitions ces derniers mois parmi les forces de l’ordre qui refusent de tirer ou ont rejoint la rebellion (ou leurs familles). Read Here
