The Johan de Witt blocks pirates along the coast
La mer bleue. Du sable. Pas un arbre. Une plage à faire rêver un amateur de solitude ? Eh non. C’est tout simplement un des “ports” pirates nichés sur la côte somalienne, observés du navire néerlandais de la flotte anti-piraterie de l’UE, le HNLMS Johan de Witt, qui est actuellement en mission d’observation et d’interception, le long des côtes.
Le Johan de Witt a ainsi bloqué l’accès à la mer de ces bateaux pirates, apprend-on du QG d’Atalanta. Navire amphibie, le Johan de Witt dispose, en effet, de péniches de débarquement (LCVPs) qui permettent d’opérer facilement près des côtes, avec plus de discrétion qu’un navire de guerre (1).
En l’occurence, les marines européennes disposent en ce moment d’un précieux allié, la météo. Le retour de la mousson rend les opérations de piraterie plus difficiles et obligent les pirates à rejoindre la haute mer le plus rapidement possible.
(photo credit: EUNAVFOR Atalanta)
(1) Le Johan de Witt capture a few more pirates. He plays
the surprise.
If France in particular had maintained its action frigate program towards the land, Europe would have an effective instrument of repression to fight against piracy.
Perhaps it would be useful for military ship design offices at European level to study the concept of dedicated ships. With a “mother” building allowing reception in the rafts of two to four “son” buildings and on the bridge helicopters capable of detecting, pursuing and arresting pirates.
French BPCs could serve as a basis for this concept. But on the condition of having a self-defense armament worthy of the name, as on the Johan de Witt.