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Piraterie maritime

Le Surcouf et la Louise-Marie à la rescousse de naufragés (MAJ)

(BRUXELLES2) Dix naufragés ont été sauvés d'un naufrage par la frégate française Surcouf (F-711) qui participe à l'opération EUNavfor Atalanta, à 30 miles nautiques des côtes somaliennes après que leur bateau ait commencé à couler dans l'océan. Le capitaine de ce dhow à pavillon indien avait lancé un appel de détresse signalant une panne moteur et le lent chavirage. A ce moment là, les marins français étaient à 26 milles des côtes. Il était temps. Juste 45 mns après être passé sur le navire français, le dhow disparaissait totalement dans la mer. Les marins ont été ensuite transférés lundi (14 janvier) par hélicoptère sur la frégate belge, la Louise Marie qui était en train d'escorter un bateau du Programme Alimentaire Mondial. Car la frégate Surcouf « n'était pas en mesure de garder les nouveaux arrivants» (sans doute pour cause d'intervention en soutien sur l'opération de libération de l'agent de la DGSE retenu en otage). Lire aussi : La récupération d’un otage français en Somalie échoue (Maj)

Nicolas Gros-Verheyde

Rédacteur en chef du site B2. Diplômé en droit européen de l'université Paris I Pantheon Sorbonne et auditeur 65e session IHEDN (Institut des hautes études de la défense nationale. Journaliste depuis 1989, fonde B2 - Bruxelles2 en 2008. Correspondant UE/OTAN à Bruxelles pour Sud-Ouest (auparavant Ouest-France et France-Soir).

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