(B2) C'est le mot d'ordre à Berlin, comme le détaille notre collègue Wiegold de Focus sur son blog. Aux armateurs de bateaux de tourisme qui demandaient la protection de leurs navires par la marine allemande, le ministre a répondu : Oui ... si vous battez le pavillon national. Une position qui n'est pas illogique. De nombreux armateurs ont choisi de se mettre sous un pavillon d'un pays tiers (Bahamas..., souvent de complaisance, pour se dispenser de payer certaines charges à l'Etat. Le gouvernement en tire les conséquences.
(NGV)