Le sommet de Trieste tourne court. Entre Français et Italiens un couac
(B2) Paris et Rome ne semblent pas sur la même longueur d'ondes. A écouter nos collègues italiens, la rencontre entre Italiens et Français, en marge du sommet sur les Balkans, ce mercredi (12 juillet) a tourné court. Le Premier ministre Paolo Gentiloni qui demandait à la France d'entrouvrir ses ports, pour délester un peu les ports italiens, s'est heurté à un mur. Malgré l'intermédiaire de l'Allemagne, Emmanuel Macron a refusé de décrocher de la position traditionnelle de la France. Pas d'accueil supplémentaire de migrants. Et juste un petit effort pour les réfugiés politiques. On est bien loin de la politique allemande d'accueil, plus généreuse, tant saluée pourtant à Paris. (NGV)